De "l'histoire de l'œil" de Georges Bataille je ne retiens que ces trois phrases :
"Il ne resta devant nous qu'une fenêtre vide, trou rectangulaire perçant la nuit noire, ouvrant à nos yeux las un jour sur un monde composé avec la foudre et l'aurore."
"Toute représentation de l'ennui se lie pour moi à ce moment et à ce comique obstacle qu'est la mort."
"Elle ne fixait que le vague, on aurait cru qu'elle était d'un autre monde."
Étrangement, ces passages ne m'évoquent absolument rien.
"Il ne resta devant nous qu'une fenêtre vide, trou rectangulaire perçant la nuit noire, ouvrant à nos yeux las un jour sur un monde composé avec la foudre et l'aurore."
"Toute représentation de l'ennui se lie pour moi à ce moment et à ce comique obstacle qu'est la mort."
"Elle ne fixait que le vague, on aurait cru qu'elle était d'un autre monde."
Étrangement, ces passages ne m'évoquent absolument rien.