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2008 | Mercredi 18 juin | Sermange, Jura

De "l'histoire de l'œil" de Georges Bataille je ne retiens que ces trois phrases :

"Il ne resta devant nous qu'une fenêtre vide, trou rectangulaire perçant la nuit noire, ouvrant à nos yeux las un jour sur un monde composé avec la foudre et l'aurore."

"Toute représentation de l'ennui se lie pour moi à ce moment et à ce comique obstacle qu'est la mort."

"Elle ne fixait que le vague, on aurait cru qu'elle était d'un autre monde."

Étrangement, ces passages ne m'évoquent absolument rien.